Une grande partie des véhicules, engins et matériel liés à la demande d’exploitation du candidat-exploitant est déjà présente sur le site. Et déjà en activités.
D’intenses tirs de mine ont lieu à une cadence répétée sans la moindre prévention, sans le moindre avertissement préalable contrairement aux engagements pris par l’exploitant au sein de la Commission d’accompagnement des Dolomies qui existe depuis de nombreuses années.
Le produit de ces explosions est transporté en rotations rapides vers la fosse Nord et rapidement extrait du site.
Vivons ensemble s’interroge:
1. Sur la nature volontairement expurgée et incomplète de la demande actuelle de l’exploitant.
2. Sur la reprise des activités d’extraction et d’exploitation sur le site sans aucun encadrement légal. Des activités qu’il avait lui-même arrêtée en 2001.
3. Sur la rupture de ses engagements pris en 2001; des engagements qu’il avait mis en œuvre à l’issue de l’exploitation et qui consacrait officiellement la fin de cette dernière.
4. Parmi ces engagements, il a notamment créé un plan d’eau de près de 3 ha. Depuis vingt ans, cette surface a été le moteur de ce qui est aujourd’hui un SGIB de la région wallonne. La faune et la flore ont repris leur droits et notamment des espèces protégées, certaines avec même un statut tout particulier.
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