Si les activités historiques de la carrière de Gore ne pèsent pas voire peu sur l’environnement, il n’en va pas de même pour l’ampleur des activités complémentaires que sa demande appelle.
Les terres de découverture, l’affreux et dangereux terril au pied des maisons, le pourtour de la carrière, ses accès et notamment son revêtement de tarmac dans un état inacceptable, l’absence de zone de nettoyage des engins avant leur sortie sur la RN90 nécessitent un effort tout particulier de cette carrière en quasi site urbain.
Si leur projet devait aboutir, Vivons Ensemble demande aux Autorités qu’elles obtiennent tant de l’exploitant que – surtout – de son prestataire, qu’ils manifestent leur souhait de contribuer à rendre à la nature ce qu’ils lui prélèvent. Et d’allouer une partie de leur revenu à l’élaboration d’un programme de maintien et de suivi de l’environnement dans et aux abords de la carrière, de plantation sur le terril et les merlons de terres de découverture amenés à rester en l’état pendant de nombreuses années, de rétablir l’accès au sentier communal dévasté qui longe la carrière, etc…
Un programme qui pourrait faire l’objet de la mise en place d’un Comité d’Accompagnement et de Suivi.
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