Dans sa lettre du 17 décembre 2020, en réponse à l’incomplétude du dossier qu’il a déposé, l’exploitant, par la voie de son prestataire, la société Arcea, précise que le projet d’extraction porte sur 350.000 tonnes par année. C’est la seule information dont les autorités disposent sur les ambitions de l’exploitant.
En 2021, de telles ambitions nécessitent un encadrement qui ne saurait trouver réponse dans le permis caduque et rompu de 1976.
Les Autorités doivent inviter l’exploitant à introduire une (nouvelle) demande de permis unique (classe 1) en bonne et due forme assortie des informations, réponses et procédures requises dans ce type de projet, notamment une étude d’incidences sur l’environnement, l’organisation d’une réunion du public et des réponses aux thématiques suivantes :
- Sous-sols et problématique des stériles
- Air et Climat
- Environnement sonore
- Environnement vibratoire
- Faune et Flore
- Patrimoine – Cadre Bâti – Paysages
- Mobilité
Laisser un commentaire